Collection Jeune – Vieux. Immorale (1/2)

- Julien tu tombes bien, viens m’aider à passer ma crème au café.
- Tante Julia, je venais t’apporter le pain rassis pour en faire du pain perdu.

Depuis des années, je suis copine avec ma voisine Adeline.
Nous avons le même âge mais loin d’avoir le même parcours.
Marié à 20 ans vierge, stérile jusqu’à 32 ans et enceinte un soir de cuite lui donnant en plus de son mari chiant Julien son beau gosse de 18 ans.
Depuis, connaissant tous de sa vie à 50 ans, elle lui est restée fidèle.
Le pain perdu, c’est pour lui, pour ses dix-huit ans demain.
Il a deux petits péchés mignons, le pain perdu que je lui prépare depuis des années et de la crème à l’extrait de café qu’il me faut passer dans un Chinois.
Il m’appelle tante Julia depuis sa plus tendre enfance principalement pour lui, pour les autres dont Adeline et Franck ils me disent simplement Julia.
Contrairement à sa mère, par choix les s je les ai laissés au placard.
Par chance, j’ai eu de nombreux amants dont Bob que j’ai ramené des Amériques et où il est retourné il y a six mois me laissant un simple mot sur la table de la cuisine avec un compte à mon nom où j’ai pu voir qu’il l'avait approvisionné de 500 000 €.
Je l’ai connu à San Francisco où j’avais atterri dans ma période baba cool.
Au départ j’étais parti à New York pour approfondir mon anglais.
J’avais le choix entre les USA et Londres, mais les rosbifs et moi ça faisait deux alors ça a été New York.
Là-bas, les orgies de sexe ont fait que j’ai abandonné mes études d’anglais pour les vivres.
La route 66 en stop et à moto de café en café, de lit en lit a fait que je suis parfaitement bilingue et que Bob avait une parfaite amante dans son lit même s’il savait que de temps en temps il avait des cornes.
Même Adeline ignore cette partie de ma vie depuis que je la connais.
Quand ça me prend, je mets des affaires dans un sac, je vais à la gare et je pars par le premier train.


Dans une gare choisie au hasard, je descends, je vais dans le premier hôtel et le premier bar où je trouve mes sexes d’un temps.
Repus de fellations, sodomies, ou autres parties de jambes en l'air, je fais le chemin inverse et je reprends ma place auprès de mon Américain.
Chaque fois Adeline est persuadée que je suis allée voir ma propre tante âgée qui à ce jour doit avoir plus de 100 ans sans que personnes semblent se poser des questions.
Depuis le départ de Bob, je suis restée sage.

- Comment je fais tante Julia ?
- Regarde, j’ai mis un plat allant au four dans un en Pyrex rempli d’eau.
Dans une casserole, regarde, j’ai mélangé les ingrédients et je les porte à ébullition en tournant doucement.
Il faut enlever tous les grumeaux qui peuvent s’être formés pour que la crème soit onctueuse.
C’est pour ça que je passe le mélange dans ce Chinois et seule c’est difficile.

Je jure que rien n’est calculé quand il se frotte presque à moi.
Son odeur de jeunes mâles me rappelle celle de mes amants de 20 ans tout au long de ma vie de débauche américaine et dans des villes de tout genre.
Je repose la casserole pendant qu’il tient le chinois qui se vide lentement.
Je sais, je suis une salope.
Je l’ai tenue dans mes bras quand il était tout petit mais il est le type même des amants que je recherche chaque fois que je vais dans une ville au hasard, puis dans un hôtel après avoir dragué dans les bars.

- Que fais-tu tante Julia, où vas-tu, là c’est ma bite ?
- Je sais, si tu savais depuis combien de temps j’avais envie de la caresser.
Tient bien le Chinois, évite d’en perdre, demain il en faut pour tout le monde.
- Arrête, j’ai une copine, Sylvie.
- Tu couches avec ?
- Non, il est impossible de faire ça chez elle ou chez nous.
- Tu es donc puceau, je vais m’occuper de ça.

Je sais, je suis folle, mais quand un besoin de sexe se fait sentir en moi, il faut que je me fasse baiser.


- Oh ! Julia, ta bouche est douce.

Tient « Tante » a disparu.
Il est bien monté, plus que son père.
Je sais j’ai déjà dit être une salope.
Un jour Franck est venu chez moi réparer un robinet fuyant, Bob étant dans son atelier à faire ses œuvres qui lui permettaient de nous nourrir.
C’est sur la table de la cuisine derrière moi, qu’il m’a couché et qu’il m’a baisé.
Je savais qu’il venait, j’étais en peignoir.
Il m’a évité de prendre un train car depuis quelques jours mes ovaires me travaillaient et mes seins me faisaient mal à hurler.
Il les a mordus comme je lui ai demandé, il m’a pris comme une bête, certainement par peur qu’un de nos conjoints nous surprenne.
Après hélas, très penaud, il m’a fui m’obligeant à reprendre ma route ferroviaire de luxure.

Je le pompe comme je l’ai fait des milliers de fois.
À San Francisco, dans mon périple américain, dans Haight-Ashbury quartier hippie de cette ville, j’ai rencontré Christian un jeune marin de passage avec son bateau de la marine nationale.
J’ai oublié le nom du bateau qui faisait le tour du monde.
J’ai vécu avec lui dans ma soupente où j’habitais.
Faites l’amour, pas la guerre, il avait compris notre slogan car il me baisait ainsi que les copines des chambres voisines.
Il est reparti les couilles vides mais il faut que je parle du jour où il était de service dans l’impossibilité d’aller à terre nous rejoindre.
Il y avait des visites du bateau et par une porte dérobée il m’a fait entrer dans le poste des mécaniciens.
Une cinquantaine de lits à trois de hauteur.
Un gars de service au moteur fournissant le courant.
Une douzaine de marins présents.
Je suis ressortie de là les ayant tous pompés leur ayant pour certains vidés là encore leurs couilles.
J’en avais mal aux mâchoires et je suis rentrée chez moi pour prendre une douche couverte de sperme sur mes vêtements et ma figure car il aurait fallu que je me carapate très vite, si un officier était venu dans ce poste.


Quand je parle de milliers de fois, je suis très près de la réalité.

- C’est bon pose le Chinois dans la casserole, je vais mettre le plat au four après que tu m’as enfourné.

Je me relève, le prend par la main et l’entraîne vers mon salon.
Si j’avais su sa venue, j’aurais fait ma crème au café en robe de chambre.
Je m’assieds sur mon canapé relevant ma jupe présentant mon sexe recouvert à celui que je souhaite venir en moi.

- Tire sur ma culotte.
- Oh, Julia qu’as-tu sur tes grandes lèvres.
- Des anneaux que je me suis fait poser dans une période de ma vie.
- Regarde, j’en avais dans mes lèvres et mes oreilles, s’était mal vu j’ai enlevé ceux qui se voyaient le plus.
- Tu en as ailleurs ?
- Oui, regarde mes seins, je suis percée sur mes seins et regarde mon nombril, j’en ai un.

Je me retrouve dépoitraillée les jambes écartées devant ce jeune garçon qui me regarde avec des yeux ronds.

- Qu’est-ce qu’il y a marqué sur ton tatouage au dessus de ta chatte ?
Fuck-me.
- Baise-moi, s’était un soir de grande cuite, ils étaient trois à m’entourer, l’un d’eux savait tatouer.

C’est surprenant pour lui de découvrir que cette femme qu’il côtoie depuis sa plus jeune enfance est en réalité une ancienne junky car en plus de la baise dans ce village hippie, nous étions largement sous l’influence de diverses drogues et alcool en tout genre dans ces années là.
C’est au retour en France que Bob m’a à me désintoxiquer mais ça je vais éviter de lui en parler.

- Aller, suis mon tatouage, baise-moi.

Que dire de plus, il entre en moi semblant avoir oublié sa jeune copine perdant par là même son pucelage ?
Ma chatte retrouve ses saveurs d'antan quand il crache son sperme arrosant mon utérus étant une nouvelle fois à la fête.

Nous nous rajustons et retournons à notre cuisine.

- Dis-moi, ta Sylvie, tu veux la faire venir ici, pour que tu aies des rapports avec elle.

- Et toi, après ce qu’il vient de se passer ?
- Je saurais m’effacer, ça aura été un merveilleux moment de ma vieille vie.
- Tu es encore jeune et tu sembles avoir une grande expérience.
Tes piercings me l’ont montré.

Une grande expérience, l’avenir nous le dira…

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